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FORMATION INDUSTRIALISATION

SERVICE

" VACO -

Véhicule Autonome et Connecté d'Occitanie"

 

UNE VRAIE 

OPPORTUNITÉ

pour les 

ENTREPRISES du TERRITOIRE

COMMENT L'OCCITANIE COMPTE ETRE LEADER SUR LE VÉHICULE AUTONOME ET CONNECTE

 Par Héloise Thépaut  |  extrait «  La Tribune » 10/02/2020,

 

 … le projet Trapèze, proposé par Vinci et Renault …vise ainsi à expérimenter en route ouverte des services de covoiturage couplé avec de la conduite automatique et des smart grids (un réseau de distribution d'électricité intelligent qui favorise la circulation d'information).

"Nous souhaitons capitaliser les infrastructures existantes pour tester notre projet qui doit permettre d'augmenter le nombre de passagers par heure sur une voie. Nous cherchons un site d'expérimentation fermé à haute vitesse dès 2020. Puis un tronçon sur une ligne ouverte pour basculer sur l'étape 2. Il y a des réflexions sur l'A68", rapporte Jean-Philippe Scherrer, Directeur Axians Vinci Energies.

 

Un besoin évident d'adapter les cursus de formation
La région Occitanie doit également être capable d'anticiper l'évolution des besoins en compétences et formations pour espérer se positionner sur le marché du véhicule autonome. Le développement de celui-ci va, en effet, entraîner une mutation importante des métiers et des besoins en recrutement chez les industriels.

"Nous avons porté une analyse sur les formations existantes et les besoins en compétences des industriels. Les forces vives sont là. Nous avons quelques centaines de diplômés par an qui peuvent alimenter la filière. Pour autant, les formations existantes restent confidentielles face au besoin. Nous ne couvrirons pas les besoins à trois ans", regrette Bertrand Raquet, directeur de l'Insa Toulouse et président du groupe Insa.

Avec plus de 1 300 étudiants diplômés chaque année, l'Occitanie est la troisième région, au niveau national, dans les domaines de compétence associés au développement du véhicule autonome et connecté, selon le comité de filière. Malgré tout, la région peine à les attirer une fois qu'ils sont sur le marché du travail.

"Les étudiants en école d'ingénieur ne sont que 40% à rester en Occitanie, une fois leurs études terminées. Ils sont habitués, à présent, à aller travailler à l'étranger. La région doit donc être connue pour être une filière de formation sur le véhicule autonome et connecté.", souligne le directeur de l'Insa Toulouse.

C'est dans cette volonté que l'Occitanie a lancé le projet de labellisation de Campus des métiers et qualifications d'excellence de la mobilité et des transports intelligents de Toulouse Occitanie. Ces établissements intégreront ainsi des entreprises, des établissements de formation, des établissements supérieurs et des laboratoires de recherche pour tenter d'attirer davantage de jeunes sur la filière du véhicule autonome et connecté en Occitanie.

rapport "VACO" 2019

Rapport-VACO-2019 EDITO de Thierry CAMMA
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